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Actualités du Printemps de l'économie
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2021年6月24日 · VeilleLire plus...La sélection de cette semaine a été réalisée par Meritxell Tronc et Lucie Caron (Skema BS) Une...2021年6月24日 · VeilleLire plus...La sélection de cette semaine a été réalisée par Meritxell Tronc et Lucie Caron (Skema BS) La...2021年6月24日 · VeilleLire plus...La sélection de cette semaine a été réalisée par Meritxell Tronc et Lucie Caron (Skema BS) Le d...Plus d'articlesTout savoir sur la 9è édition du 12 au 15 octobre 2021 ?
Actualités des partenaires [22/02/2020]
Une sélection réalisée par des étudiants du Conseil étudiant du Printemps de l'économie
Meritxell Tronc, Charles-Emmanuel Arabian, Romain Jacquey, Lucie Caron (Skema BS)
Obligations vertes : entre incertitude et désir d'une finance plus verte ?
LAJILI LARJIR Souad, LEBELLE Martin, SASSI Syrine, “Les marchés financiers restent réservés face aux obligations vertes, The Conversation, Rubrique Économie, 17 février 2021
Disponible ici [consulté le 17 février 2021]
Depuis que l’expression de « développement durable » a été mis popularisé par le rapport Brundtland en 1987, l'idée d'une croissance intégrant les contraintes sociales et écologiques a fait son chemin, notamment dans la sphère financière. En 2007, la Banque centrale européenne a lancé la première obligation verte, une innovation destinée à financer des projets durables et verts.
C’est tout l’intérêt de cet article que de s’intéresser à ce type de produits financiers novateur, au service d’une finance plus responsable et plus engagée. La question d'un financement de projet à travers ces obligations vertes est en effet devenue objet de débat, car les marchés financiers pourraient ainsi devenir acteurs du développement durable, apportant plus de soutien aux organisations non-gouvernementales qui sont, on le sait, les principaux moteurs de la lutte contre le réchauffement climatique.
Les auteurs abordent ici les difficultés et freins qui empêchent ce type de titre encore méconnu de se développer, mais présentent aussi les opportunités qu'il pourrait offrir. Si le développement durable et les projets innovants vous intéressent, cet article vous permettra de comprendre les tenants et aboutissants d'une question qui mêle à la fois finance, écologie et intérêt sociétal.
L’Airbus des batteries est-il voué à rester sur tarmac ?
Jublin, Matthieu, 2021. « L’Airbus des batteries peut-il décoller ? », Alternatives économiques, n° 409 février 2021, pages 60-63.
Disponible ici [accès réservé, sur abonnement]
En 2035, on estime que 40% des automobiles seront électriques ou hybrides. Or, en ce domaine, l’Europe accuse un retard cruel puisqu’elle ne produit actuellement que 1% des batteries lithium-ion contre 90% pour l’Asie. C’est pour combler ce retard qu’a été créée en 2017 la European Battery Alliance (EBA), une initiative déclarée depuis « projet important d’intérêt européen commun ». Avec un budget de 3,2 milliards d’euros, sont but est simple : que l’Europe soit indépendante dans la production de batteries pour véhicules électriques.
4 ans après sa création, l’EBA a vu naître plusieurs projets, mais uniquement des consortiums d’entreprises nationales. Autant dire que l’on est loin d’un « airbus des batteries » puisque l’on se focalise davantage sur « la concurrence à l’intérieur de l’UE que sur les outils d’une véritable politique industrielle commune ». Dans le même temps, la France et l’Allemagne, entre autres, ont accueilli plusieurs entreprises asiatiques sur leur territoire afin de réduire les coûts de production et l’incertitude des approvisionnements. Ce faisant, ces pays ont en effet écarté un problème de commerce extérieur mais n’ont pas résolu celui de la souveraineté : « bien que made in Europe, les batteries sont fabriquées par des acteurs non communautaires ».
Ainsi, sommes-nous face à un « double jeu » des acteurs européens, à savoir ménager leurs relations asiatiques et leur souhait d’indépendance. Car pour l’instant, ayons en tête que de 2000 à 2018 « les 9 plus gros demandeurs de brevets dans les technologies de batteries étaient japonais ou coréens » et que l’Europe fait face à un « manque d’ingénieurs » selon le PDG de Northvolt, Peter Carlsson. « L’airbus des batteries peut-il décoller ? » Rien n’est moins sûr…
Sélection de publications de la semaine passée
Natixis
LUDKTA Troy, “Cyclical Upturn in Inflation to Continue for the Short-Term", US snap Chart, Paru le 17/02/21.
Disponible ici [consulté le 18/02/2021]
Banque de France
CANCE Raphaël, OUVRARD Jean-François, THUBIN Camille, « Les canaux économiques de la crise Covid en France », Bloc-notes Eco, Banque de France [en ligne], 17 février 2021.
Disponible ici [consulté le 18/02/2021]
France Stratégie
« État des lieux du financement de la sécurité sociale », France Stratégie [en ligne], 12 février 2021. Disponible ici [consulté le 18/02/2021]
OFCE
RIFFLART Christine, “Espagne : derrière la crise économique et sociale, des opportunités à saisir”, OFCE (blog), 11 février 2021.
Disponible ici [consulté le 18 février 2021]
École des hautes Études en Sciences Sociales
AUDIGE Isabelle, « choix tragiques : quelle place pour nos enfants durant la crise sanitaire ? », Les carnets de l’EHESS [en ligne], 16 février 2021.
Disponible ici [consulté le 18/02/2021]
Alternatives Economiques
CHAVAGNEUX Christian, « OMC : les défis d’une institution en panne », Alternatives Economiques [en ligne], 16 février 2021.
Disponible ici [consulté le 18/02/2021]
Pour l’Éco
BURCKEL Emeline, “Mario Draghi : un bon économiste fait-il un bon chef de gouvernement ?”, Rubrique En pratique : l’économie au quotidien, 17 février 2021.
Disponible ici [Consulté le 17 février 2021]Actualités des partenaires [15/02/2020]
Une sélection réalisée par des étudiants du Conseil étudiant du Printemps de l'économie
Meritxell Tronc, Charles-Emmanuel Arabian, Romain Jacquey, Lucie Caron (Skema BS)
Taxe carbone : incidence comparée en France et dans le reste de l’Europe [Banque de France]
DEVULDER Antoine et LISACK Noémie, « Taxe carbone : incidence comparée en France et dans le reste de l’Europe », Bloc-notes Eco, billet n°203, Banque de France [en ligne], 10 février 2021. Disponible ici [consulté le 11 février 2021].
Dans cet article, les chercheurs prennent une taxe carbone hypothétique de 50 euros par tonne, ce qui est une mesure discutée au niveau européen pour atteindre les objectifs de baisse des émissions carbone à moyen terme. En étudiant la baisse de la valeur ajoutée dans chaque secteur, en France et dans le reste de l’UE, causée par cette taxe, on se rend compte que la baisse serait moindre en France que dans le reste de l’UE.
Pour expliquer cela, les auteurs examinent l’effet selon les secteurs qui subissent une perte plus ou moins grande de valeur ajoutée. L’écart entre les activités financières, immobilières et spécialisées et les activités agricoles serait de plus de 10%, puisque les premières ne perdraient que 0,03% de leur VA tandis que les secondes en perdraient 12%. La taille des secteurs est aussi primordiale, puisque leur part de VA dans la VA agrégée (tous les secteurs ensemble) en dépend. Il faut de plus prendre en compte l’interdépendance des secteurs qui fait que l’impact de la taxe se répercute entre eux.
Finalement, l’article nous fait comprendre grâce à ces éléments pourquoi la France serait moins touchée par une taxe carbone que le reste de ses partenaires européens, sans aborder les effets d’une telle taxe sur les ménages et une redistribution éventuelle de ses recettes.
Le luxe : prospère malgré tout ! [Xerfi]
Jean-Noël Kapferer, HEC, "Sous la crise sanitaire, l'insolente prospérité du Luxe", Stratégie & Management, Xerfi Canal, février 2021
Disponible ici [consulté le 12 février 2021].
Le mardi 9 février 2021, LVMH est devenue la première capitalisation boursière européenne, devant Nestlé. Un événement qui crée l’émoi car en ces temps de morosités économiques, force est de constater que tous les secteurs ne vont pas à la même vitesse. Le luxe, dont le marché représente plus d’un trilliard d’euros, est de ceux qui avancent bien plus vite que les autres. Pourquoi ?En effet, Jean-Noël Kapferer assure que le luxe n’est en rien éreinté par la crise sanitaire mais que, au contraire, cette dernière le renforce. Pour se convaincre de cela, il faut repenser le luxe et se focaliser sur « les luxes ». Kapferer nous dit que, à l’opposé de ce que pense la doxa, le luxe ne se cantonne pas à l’ultraluxe (yacht, île privée…), mais est ce qui permet, à travers la consommation, de se surélever et d’atteindre un idéal de soi. Dans ce sens, le luxe pourrait bel et bien toucher « trois milliards de personnes » selon François-Henri Pinault, PDG de Kering…
Ainsi l’expression de « l’impôt de la modernité » est-elle née pour désigner le coût de dépense d’une certaine tranche de la population des pays émergents, notamment en Chine, pour montrer leur réussite économique selon les codes occidentaux du luxe. Toutefois, Kapferer finit sur un constat bien clivant : le luxe n’existe que par les inégalités, par le fait que certains gagnent et dépensent plus que d’autres.
Sélection de publications de la semaine passée
Caisse des dépôts
Morel Pauline, “Les obligations vertes, sociales et durables – Dissection d’un marché”, CD’enjeux , Caisse des dépôts, 3 février 2021
Disponible ici [consulté le 11 février 2021]
Université Paris Dauphine
Dauphine Débat, “Haut-Karabagh : Un conflit au-delà du Caucase?”, D-cryptage, 9 janvier 2021.
Disponible ici [consulté le 15 février 2021]
Natixis
ARTUS Patrick, « Un problème avec les stress-tests des banques de la zone euro : l’instabilité de la corrélation entre la croissance du PIB, les faillites, les marchés financiers », Flash Eco, Natixis Research, 11/02.
Disponible ici [consulté le 15 février 2021]France Stratégie
« Les ressources humaines en santé, levier de transformation du système de santé », Les Actes des séminaires du HCAAM 2019-2020, 22 janvier 2021.
Disponible ici [consulté le 11 février 2021]
Paris School of Economics
ARRONDEL Luc, DUHAUTOIS Richard, Comme les garçons ? L’économie du football féminin, Collection du CEPREMAP n° 55, Editions Rue d'Ulm, 2020.
Un entretien dans So Foot, disponible ici [consulté le 15 février 2021]
OFCEMATHIEU Catherine, “Chine: La course en tête”, OFCE-Science Po, 2 février 2021.
Disponible ici [consulté le 11 février 2021]
École des Hautes Études en Sciences Sociales
DAUCE Françoise, « Le « Grand Frère » pandémique en Russie. Inquiétudes et critiques à l’heure du confinement numérique », Les carnets de l’EHESS, Ecoles des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 11 février 2021.
Disponible ici [Consulté le 11 février 2021]
Open DiplomacyKRAATZ Anne, « Les Bons, les Brutes et les Malins : le leadership américain à la recherche d’une nouvelle approche. » Open diplomacy, 22 janvier 2021.
Disponible ici [consulté le 11 février 2021]
Partageons l’éco
Pauline Bouisset, "L’évolution de l’épargne en France", Graphique et explications. [online]
Disponible ici [consulté le 12 février 2021]
Actualités des partenaires [08/02/2020]
Une sélection réalisée par des étudiants du Conseil étudiant du Printemps de l'économie
Meritxell Tronc, Charles-Emmanuel Arabian, Romain Jacquey, Lucie Caron (Skema BS)
L’économie française en 2020-2022 selon le panel de prévisionnistes de l’Observatoire français des comptes nationaux [OFCE]
MADEC Pierre et PELERAUX Hervé, « L’économie française en 2020-2022 selon le panel de prévisionnistes de l’OFCN », OFCE Policy Briefs et Sciences Po, 29 janvier 2021. Disponible ici [consulté le 4 février 2021]
En fin d’année 2020, lors de la réunion de l’Observatoire Français des Comptes Nationaux (OFCN), 16 instituts ont établi leurs prévisions pour l’économie française de 2020 à 2022.
Toutefois, en raison des incertitudes au combien préoccupantes concernant l’avenir sanitaire, les panélistes ont jugé quelques secteurs trop incertains pour qu’ils fussent analysés. C’est ainsi par exemple que les PIB des deux prochaines années ont parfois été étudiés sans projeter l’évolution du revenu disponible brut (RDB) et l’épargne des ménages. Ces deux derniers points requièrent en effet d’étudier le comportement du consommateur, or, celui-ci ne risque-t-il pas de connaître encore de nombreux bouleversements d’ici 2022 rendant alors toute analyse caduque ?
Par ailleurs, en plus du flou sanitaire, s’ajoute celui de la temporalité : comment projeter l’environnement économique de 2022 tout en divergeant sur celui du trimestre en cours ? Rien d’étonnant donc de voir des différences de plus de 6 points de pourcentages entre deux instituts pour une même composante et des écarts-types bien plus importants qu’en temps « normal ».
Malgré tout, une certaine atmosphère du climat économique français peut être dégagée. En bref, le PIB pourrait, à un point près, après une forte croissance en 2021, retrouver son niveau d’avant crise en 2022. En parallèle, l’inflation, selon la moyenne du panel, augmenterait jusqu’à 1.1 % en 2022. Profitant d’un tel climat, le déficit public atteindrait 7.6 % du PIB en 2021 et 5.8 % en 2022. L’optimisme est cependant moins ardent concernant le chômage : son niveau de 2021 devrait être le même qu’en 2015 et celui de 2022 toujours 1.2 point au-dessus de son taux le plus bas de 2019.
Les prévisionnistes analysent l’influence de la crise du coronavirus en France, en comparant les prévisions de fin 2020 à celles de fin 2019, quand le monde était encore ignorant de la pandémie et plutôt optimiste. Cette analyse s’étend au reste de l’Europe, ainsi qu’aux Etats-Unis et à la Chine, pays pour lesquels les instituts estiment le temps nécessaire pour revenir à la situation pré-crise au niveau du PIB. La Chine, finalement moins impactée par le SARS-Cov-2 et avec une croissance plus forte dès 2019, s’en sort mieux que les Occidentaux, mais accuse tout de même des pertes sévères.
Les analystes examinent ensuite deux facteurs clés dans la reprise du PIB français : l’épargne des ménages et les faillites des entreprises. La première représente des fonds accumulés par les français en 2020 et nécessaire pour relancer la consommation, ergo la croissance. Les faillites sont, quant à elles, un des dangers principaux qui planent sur l’économie française. Les entreprises des secteurs les plus touchés par les restrictions sanitaires sont bien sûr concernés mais, en réalité, l’ensemble de l’appareil industriel français est menacé par ce ralentissement qui ne finit pas.
Un nouveau record de créations d’entreprises en 2020 malgré la crise sanitaire [INSEE]
Gourdon, H., 2021. "Un nouveau record de créations d’entreprises en 2020 malgré la crise sanitaire", Insee Première - n°1837, INSEE. Disponible ici [Consulté le 5 février 2021].
848 200, c’est le nombre d’entreprises créées depuis 2020. Ce chiffre record brise la vision que l’on peut avoir de l’entreprenariat en ces temps de crise sanitaire. Cet article vous permettra de comprendre les raisons de cette hausse si importante. Malgré cette tendance globale à la hausse, derrière ce chiffre, se cachent de profondes disparités selon le type d’entreprises créées, le profil de ces entrepreneurs, l'implantation géographique et les secteurs concernés.
En effet, tous les secteurs n’ont pas su tirer le même avantage de la Covid, certains ont enregistré un recul. Comme nous avons pu le constater, la pandémie s’est avérée bénéfique pour le commerce en ligne. De plus, malgré une impression globale de hausse phénoménale dans ce secteur à cause de la pandémie, il n'est pourtant pas ce n'est pas le premier contributeur de cette hausse globale. L’article dévoile également, qui sont ces nouveaux entrepreneurs en terme d’âge mais aussi de sexe, nous permettant ainsi de mieux visualiser le profil de ces nouveaux chefs d'entreprises.
L’année 2020 signe-t-elle le retour d’une hausse de la féminisation dans l’entreprenariat que l’on sait stabilisée à 39% depuis 2015 ? Pour le savoir, cliquez vite sur l’article !
Sélection de publications de la semaine passée
Banque de France
BERGEAUD Antonin et RAY Simon, « Les transformations économiques liées au télétravail », Bloc note éco, Banque de France [en ligne], 12 janvier 2021, billet numéro 199 [consulté le 4 février 2021]. Disponible ici [consulté le 5 février 2021]Université Paris Dauphine
Cogneau D., Dupraz Y., Mesplé-Somps S. (2021), Fiscal Capacity and Dualism in Colonial States: The French Empire 1830-1962, The Journal of Economic History [online], Dauphine Université Paris. Disponible ici [consulté le 5 février 2021]Natixis
ARTUS Patrick, « Comprendre le mécanisme central du soutien budgétaire pendant la crise de la Covid », Flash Eco, Natixis Research, 4 février 2021. Disponible ici [consulté le 8 février 2021]Paris School of Economics
BAS Sinem, BICH Philippe, CHATEAUNEUF Alain, « Multidimensional inequalities and generalized quantile functions », Economic Theory, Springer Verlag, 2020, 67 (publication du mois de Centre d’Economie de la Sorbonne). Disponible ici [consulté le 4 février 2021]France Stratégie
BEEKER Etienne et DEGREMONT Marie, « Quelle sécurité d’approvisionnement électrique en Europe à l’horizon 2030 ? », France Stratégie [en ligne]. 15 janvier 2021 [consulté le 4 février 2021]. Disponible ici [consulté le 4 février 2021]
École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
SEEGMULLER Thomas et BASIUK Aurore, « Quand les bulles gonflent la croissance. Les bulles spéculatives, partie I », Dialogues Economiques de Aix-Marseille School of Economics et Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales [en ligne], 6 janvier 2021. Disponible ici [consulté le 4 février 2021]
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Responsable de la publication : Pierre-Pascal Boulanger